En tant que minorité les Dongs échappent aux nombreuses obligations auxquelles les Hans (la majorité chinoise) sont astreints. Ils ne sont pas tenus à la règle de l’enfant unique, que le gouvernement serait d’ailleurs incapable de faire respecter en donnant des sanctions. Un second enfant fait perdre aux Hans le droit aux services sociaux: logement, éducation gratuite, santé. Ceci fait bien rire les Dongs.