Divinité maya à deux facettes, Maximón représente à la fois le bien et le mal. C’est un saint et un débauché à qui on demande protection et faveurs en lui achetant de l’alcool et des cigares. Comment vénérer un tel personnage dans un cadre catholique traditionnel ? Tout d’abord, on lui donne deux noms : Maximon dans les familles et Saint Simon à l’église. Surtout on s’applique à le traiter de façon "respectable" dans les lieux de culte officiels et "à la Maya" dans les sanctuaires privés, comme celui que nous visitons aujourd’hui.