Après 35 ans d’une guerre civile qui a fait 200 000 morts et disparus, le pays s’est réconcilié. Certains guérilleros se sont reconvertis en gardes privés et posent en arme aux coins de rues. D’autres ont été embauchés par les narco-trafiquants. Les escadrons de la mort qui ont brûlé les villages maya se sont fondus dans la nature. La corruption est toujours là mais les élections sont libres et quand il le peut, le peuple n’hésite pas à dire ce qu’il pense des politiciens (voir la page : Si, podemos).