Avant le « tenancy act », le kisan ne possédait ni les animaux, ni la terre dont il ne tirait aucun revenu. Il devait, en plus, travailler gratuitement pour la communauté. Son logement n’était pas assuré, toute éducation lui était interdite et il n’était accepté dans les champs qu’il exploitait que tant qu’il y était utile. Chaque acte de sa vie, mariage, départ d’un enfant, accueil d’un membre de la famille était lourdement taxé et la « loi » était appliquée par une police spéciale contrôlée par les propriétaires terriens.