Matin à Chichen Itza. Le site vient d’ouvrir. Les marchands arrivent avec leurs containers en plastique rouges, jaunes, bleus ou verts. Dans une demi-heure on ne passera plus entre les étals. Ils vendent tous la même chose et poussent des « cris de jaguar » pour vous attirer quand vous passez dans leur allée. Il y en a jusqu’au pied des pyramides et il faut ruser pour photographier les monuments sans prendre les vendeurs. Soyons honnêtes, Chichen Itza est le summum en la matière. La plupart des sites laissent les vendeurs à l’extérieur.