La plupart des stèles ont disparu suite aux divers pillages qui ont suivi le déclin de la cité. Le peu qui reste a une parenté visible avec celles de Quirigua au Guatemala (voir les pages consacrées à ce pays). Toniná était une société belliqueuse toujours à la recherche de prisonniers à décapiter. Les artistes capturés lors des guerres étaient épargnés mais travaillaient à la gloire du vainqueur.