Considéré comme une nuisance, voire un péril, le kea n’a pas tout de suite attiré l’attention des spécialités du comportement animal. Son pouvoir de destruction a intrigué car il ne semblait pas motivé par un gain en nourriture. Il ouvrira une poubelle, pour la beauté du geste mais pas pour manger ce qui est à l’intérieur. D’ailleurs quand sont apparues les voitures, les kea s’y sont attaqués avec une vigueur renouvelée. Tout ce qui est en plastique et en caoutchouc l’attire, son sport favori est de démonter les balais d’essuie-glace.