Partie supérieure d’un corps coupé en deux. Le fait que l’on représente le corps sectionné avec la victime encore vivante, puis le corps avec ses parties séparées et enfin des amoncellements de parties corporelles donne lieu à des spéculations. Le site est trop ancien pour y retrouver des traces organiques pouvant amener à des conclusions mais l’étude des Mayas du Mexique a montré l’existence, autour des sanctuaires, de charniers où s’entassaient les restes des sacrifiés. On sait que les Mayas séparaient les crânes, conservaient le sang pour le boire et que les viscères étaient cuisinés et consommés.