Le graphisme utilisé est immuable. Les Sechín, tout comme leurs successeurs des civilisations andines, ne connaissaient pas l’écriture mais ils avaient bel et bien un alphabet visuel pour décrire la douleur : les traits des visages, bouche et yeux, sont toujours les mêmes pour la traduire. Le placement des mains est identique pour montrer qu’un supplicié a mal à un endroit du corps et un faisceau ondulé est utilisé pour indiquer le sang qui jaillit de la bouche ou du crâne.