Aujourd’hui les Uros se divisent en deux groupes. Certains acceptent les touristes et vivent de leur artisanat mais d’autres continuent à refuser tout contact avec le monde extérieur. Les habitants de la ville de Puno, rient encore du jour où, à la suite d’une tempête, une île est venue s’échouer sur la plage avec, à bord, une famille terrifiée face au monde moderne. On a remorqué l’île jusqu’au milieu du lac où ses passagers uros ont retrouvé calme et liberté.