L’île ayant été revendiquée et annexée par l’Angleterre, Deception Island était sous administration britannique. Hvalfangerserskatbet A/S, l’entreprise norvégienne qui l’exploitait payait donc un droit annuel non négligeable contre la protection de sa majesté et l’utilisation d’un bureau de poste. La police et la justice était également assurées par l’administration anglaise.