Contre l’usage de "leur" île, les Anglais imposèrent aux Norvégiens un certain nombre de règles. L’endroit devenait, en effet, invivable. Les restes des carcasses des 5000 baleines dépecées annuellement étaient entassés dans de gigantesques décharges et laissés à la disposition de milliers d’oiseaux dont les déjections recouvraient l’île. Le bruit était infernal, l’odeur irrespirable. La compagnie dut donc s’engager à traiter l’ensemble des carcasses. L’investissement en matériel fut important mais très vite rentable. Alors que l’on pensait que seuls 10% de la masse de l’animal présentaient un intérêt on découvrit que, comme pour le cochon, dans la baleine, tout est bon.