Tout comme à Tikal, les rois de Copán étaient des «k'uhul ajaw» («divins seigneurs»), médiateurs entre le monde humain et les puissances surnaturelles. Leurs cérémonies attiraient des foules considérables venues voir les sacrifices humains et aussi les automutilations auxquelles les nobles et les prêtres se livraient en haut des pyramides pour monter au peuple leur supériorité.