Arrêter les esprits est bien mais arrêter les petits insectes dévoreurs est également utile. C'est pourquoi, depuis la nuit des temps, les kôlam sont dessinés avec de la farine de riz. Le produit se disperse vite. L'artiste est donc tenté d'utiliser des pigments colorés, voire de la craie. C'est suffisant pour abuser les esprits mais ce qui retient les fourmis c'est bien le riz !